- Noyau : kernel 2.6 ou supérieur, 64 bits, PAE ou BigMem en fonction de la quantité de mémoire que vous voulez gérer : minimum 4 coeurs et 4 Go de RAM. La configuration optimale dépend du type d'intégration, des options actives et du nombre de hits ou du volume de données à traiter.
- N'importe quelle distribution de Linux. La seule interaction entre l'Olfeo installé en chroot et le système hôte se fait via le script de démarrage (/etc/init.d/olfeo-chroot).
- Installation minimaliste sans environnement graphique.
- Swap : maximum 2 fois la taille de la mémoire, dans la limite de 4 Go.
- Partitionnement : L'idéal est d'avoir une partition dédiée au chroot Olfeo. Pour calculer la taille minimale de cette partition, tenez compte des éléments suivants :
- 10 Go pour le système inclus dans le chroot.
- Estimez la taille des logs à stocker : 1 entrée de log prend environ 0,5ko.
- Si vous souhaitez utiliser la fonction cache (cache du proxy interne à l'Olfeo), estimez la taille nécessaire pour le cache disque. Calculez cette taille en
fonction du nombre de hits par seconde sur votre réseau. Si vous ne disposez pas
d'informations sur le trafic de votre réseau, commencez avec un cache disque d'1Go et
évaluez si cette taille vous convient grâce aux statistiques de cache.
Exemple d'installation typique sur une Debian 8 :
- Une partition de 15 Go contenant la Debian (OS de la machine hôte).
- Une partition contenant le chroot Olfeo, montée dans /opt/olfeo.
Installation sur machine virtuelle
N'importe quel système de para-virtualisation (hyperviseur) permettant d’installer un environnement Linux pourra faire tourner un Olfeo. Exemples : Xen, QEMU, KVM.
Les systèmes de virtualisation par cloisonnement (OpenVZ, LXC...) peuvent être utilisés à des fins de test pour des intégrations proxy ou couplage/connecteur, mais sont à proscrire pour tester les intégrations réseau, et en production quel que soit le type d'intégration.