Critères de choix

Pour choisir votre mode d'intégration, les 2 critères essentiels sont :

Les arbres de décision suivants pourront vous aider, en fonction de la problématique la plus importante pour vous (fonctionnalités liées au proxy, équipements présents dans l'infrastructure, suivi de l'identité des utilisateurs).

Choix en fonction du besoin de proxy



Choix en fonction des équipements présents dans l'infrastructure



Choix en fonction de vos besoins de suivi de l'identité des utilisateurs



Olfeo box ou installation logicielle ?

Avec une Olfeo box, vous bénéficiez de la garantie d'un environnement contrôlé produit par nos équipes de R&D : un problème lié à l'OS ou au noyau sera pris en charge par notre support technique ou le partenaire intégrateur (selon votre contrat de support).

Tous les modes d'intégration sont compatibles avec les Olfeo box et les installations logicielles. Il existe cependant des limitations concernant l'intégration en coupure : seules les Olfeo box sont supportées par Olfeo.

Il est techniquement possible de réaliser une intégration en coupure avec une version logicielle d'Olfeo. Cependant, pour ce type d'installation, le support Olfeo est limité. Celui-ci peut intervenir sur le chroot, mais pas sur la machine hôte. Les éléments suivants ne sont donc pas pris en charge par le support Olfeo : configuration réseau, gestion du bridge réalisant la coupure, gestion des règles de redirection de trafic, éléments matériels (notamment carte bypass et sa configuration). La responsabilité de ces éléments appartient à l'intégrateur ou au client.

Virtualisation ou non ?

N'importe quel système de para-virtualisation (hyperviseur) permettant d’installer un environnement Linux pourra faire tourner un Olfeo. Exemples : Xen, QEMU, KVM.

Les systèmes de virtualisation par cloisonnement (OpenVZ, LXC...) peuvent être utilisés à des fins de test pour des intégrations proxy ou couplage/connecteur, mais sont à proscrire pour tester les intégrations réseau, et en production quel que soit le type d'intégration.

Il peut être intéressant de virtualiser dans les cas suivants :
  • Faible charge à assumer (les performances des machines virtuelles sont inférieures à celles des machines physiques).
  • Déploiements "jetables", réalisés à des fins de test.
  • Lorsque la virtualisation fait partie de la politique d'urbanisation du SI.

Il est déconseillé de virtualiser si votre réseau est soumis à de fortes charges, ou si les besoins d'entrées/sorties sont importants (cas typique d'un proxy).